19-10-2012Augmentation des limites de dépenses et éclaircissements
Très peu de temps après la mise en ligne de la nouveauté sur les limitations de dépenses, nous nous sommes rendus compte, avec l'aide des joueurs, que nous avions fait une confusion dans les montants des limitations de dépenses.
C'est pourquoi nous élargissons le montant de ces limites de la façon suivante :
Les maires peuvent désormais dépenser au maximum 5000 écus pas jour et les comtes 2000 écus par jour, sans limite graduelle.
Les baillis peuvent, au premier jour de leur mandat, dépenser 5000 écus et jusqu'à 15000 écus au bout de 4 jours.
Les commissaires au commerce peuvent, au premier jour de leur mandat, dépenser 5000 écus par jour et jusqu'à 10000 écus au bout de 4 jours.
Nous l'avions déjà annoncé il y a quelques mois, mais je rappelle que les commissaires au commerce peuvent acheter au nom du Comté : les achats et ventes de marchandises peuvent ne pas passer obligatoirement par des mandats. Utiliser le commissaire au commerce pour les achats de la province est donc indispensable pour la gestion de la province.
Certains joueurs se demandaient si la création de mandats comptait dans les limites : oui, mais uniquement pour l'argent que le bailli met dessus. La valeur des marchandises mises par le commissaire au commerce sur le mandat ne compte pas dans les limitations.
Dans les écritures comptables, quelques bugs ont été corrigés aujourd'hui, à savoir :
Les montants déposés dans les mandats étaient mal affichés, les joueurs ne voyaient qu'1% de la valeur en écus des mandats créés. Cela ne se produira plus, mais on ne peut pas modifier rétroactivement ce qui a déjà été inscrit dans les écritures comptables.
Pour les provinces, les libellés de la taxe sur les pontons (taxes portuaires) et de la taxe sur les tavernes avaient été inversés, tout est revenu dans l'ordre.
Enfin, la seule et unique raison d'être de ces limitations est d'éviter certains abus, afin qu'on ne puisse plus par exemple, en une seule nuit, piller complètement une mairie ou une province. Jouer des corrompus, des méchants, des brigands etc fait évidemment toujours bel et bien partie du jeu, comme le démontre bien la nouvelle action de "Piquer dans les caisses"